Une introduction...

« Imagínate que al leer un libro, no exista la opción de volver la página atrás. 

¿Con cuánta atención leerías ese libro? 

Eso es la vida. » 

Un jour, une course. Euphorie de la pensée propulsée par mes foulées. Dans un flash, un titre m’est révélé « Ile et Aile ». Plus moyen de reculer.
J’ai envoyé mon manuscrit à de nombreuses maisons d’éditions. J’ai commencé évidemment par mes préférées. Au début, j’y croyais. J’y croyais vraiment malgré cette évidence, de toutes parts, martelée : le faible pourcentage de chance de « percer », qui plus est sans appui, sans piston comme on dit. Mais c’était plus fort que moi, j’y croyais. J’y croyais naïvement comme on croit, parfois même sans se l’avouer, en ses rêves les plus fous, les plus secrets. Je pensais que le plus dur était fait (pour autant, ce chemin d’écriture n’en fut pas moins merveilleux) : les heures de solitude à réveiller puis extraire les mots enfouis, les mots dormants.
J’ai mis du temps à comprendre que je me trompais ; ce n’était pas la « bonne » méthode.

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